Chercher à se former plus et à se former mieux est capital dans notre métier de diététicien.ne nutritionniste. Pour ce faire, il faut veiller à définir un plan de formation réfléchi par rapport à notre activité libérale. On cherchera à savoir quelle formation est la plus judicieuse à suivre à l’instant T en fonction de ses objectifs et de ses possibilités (temps, argent).
Il est également important de se spécialiser dans notre métier de diététicien.ne nutritionniste. Pour cela, il faut choisir son domaine de spécialisation et regarder les différentes choses qui peuvent être mises en œuvre. Certaines spécialités ont besoin d’un diplôme pour prétendre à une prise en charge qualitative alors que pour d’autres, le bouche à oreille, les retours et les témoignages peuvent être suffiisants.
Augmenter la qualité de ses services demande de l’investissement. Cela peut se manifester dans l’inscription à des formations, dans l’achat de matériel et de services annexes, etc. Dans ce cadre, il est toujours important d’analyser le retour sur investissement avant de se lancer dans l’acquisition d’un de ces items.
Enfin, le dernier point est un basique qu’il ne faut pas négliger : la communication. La communication en tant que diététicien.ne nutritionniste permet de créer du lien avec vos patients mais également avec les autres professionnels de santé. En travaillant une bonne communication, vous développerez notamment le bouche à oreille et votre activité libérale sera boostée !
Ces différents points sont justement abordés dans le module « Bonnes pratiques de gestion d’un cabinet diététique », de Alexandra Martin, diététicienne nutritionniste, fondatrice de cf-diététique, Présidente d’honneur de l’ADL.
Les personnes souffrant de Troubles du Comportement (ou des Conduites) Alimentaire(s) (TCA) sont très spéciales et leur prise en charge également. En tant que diététicien.ne nutritionniste, il est primordial de savoir prendre en charge ces particularités et maîtriser des outils tels que l’alliance thérapeutique, l’écoute active, l’entretien motivationnel ou encore d’utiliser des supports adaptés aux Thérapies Cognitivo-Comportementales (TCC : thérapies courtes qui se concentrent sur l’instant présent par des exercices axés sur des symptômes observables via le comportement).
Pour accompagner au mieux les patients lors d’une prise en charge diététique, comprendre la régulation du comportement alimentaire est primordial. Différents leviers entrent en jeu dans cette dernière : le contrôle homéostatique, le contrôle cognitif et le contrôle psychosensoriel.
La recrudescence des Troubles du Comportement Alimentaire (TCA) suite à la pandémie de Covid-19 rend primordiale l’information des professionnels de santé et notamment des diététicien.ne nutritionniste sur les TCA. Pour cela, il nous semble important de partager avec vous quelques faits importants sur les TCA.